Gregory House

NOM: House

PRENOM(s): Gregory

SURNOM(S): Aucun, se fait toujours appeler par son nom de famille

AGE: 42ans

EMPLOI:
Diagnosticien depuis 5 années, précédées de 7 années de chirurgie

HISTOIRE:
New York… Quelle ville… Théâtre de crimes, de tragédies, de délits plus nombreux les uns que les autres. Et pourtant, c’est également la ‘Big Apple’, la cité de l’espoir, du commerce et de l’argent.
C’est dans ce lieu paradoxal que naquit Gregory House, fils de Jonathan House, chirurgien de 10ans de carrière, et Mylène House, avocate d’une trentaine d’années. Ces deux êtres humains, selon la tradition de Mylène, avaient accouché à leur domicile, grâce à l’assistance d’une sage femme. Un foyer doux et chaleureux, immense et luxueux, accueillit alors ce petit bébé.

Tout petit, Gregory était un garçon très souriant, joueur et câlin. Il ne manquait jamais un instant de bonheur et de chaleur humaine qu’il pouvait partager avec sa mère qui, afin d’élever son enfant, avait quitté son travail. Enfin, oui et non, c’était une sorte de congé postnatal à rallonge si l’on peut dire cela comme ça.
Le père du jeune enfant, lui, continuait de travailler, ramenant même de temps à autres des outils d’opérations chirurgicales que Greg’ adorait. Et oui, tout petit déjà, l’on pouvait voir qu’il portait un grand intérêt pour la médecine.

Les années passèrent, le jeune enfant entra dans son adolescence, se mit alors à changer, sans pour autant perdre sa première passion qu’était la chirurgie.
Les 15ans, les années folles chez un jeune, Greg’ entama une série de petits délits mineurs avec d’autres enfants de son âge avec qui il avait formé une sorte de mini gang, dans les quartiers huppés de Wall Street. Bien évidemment, être enfants de bourgeois ne devait pas aider pour les crimes étant donnés que, pratiquement à chaque fois, House et sa bande de compagnons se faisaient choppés par la police.
De nombreuses soirées passées au commissariat, plusieurs engueulades de la part de ses parents, Gregory se rendit vite compte de ses erreurs et, en l’espace d’un an, comprit que sa vie serait tourné vers la vérité sans jamais plus commettre de délits et, ce, à n’importe quel prix.

Plus sage et plus sérieux, Gregory entra à la fac de médecine à ses 20ans, après s’être octroyé deux années sabbatiques pour profiter quelques instants de sa jeune vie avant de prendre le travail en main.
Deux années qu’il mit à profit pour voyager à travers le monde entier, découvrir de nouvelles cultures, apprendre de nouvelles langues et comprendre ce que pouvait vivre des gens autres que les américains. Cela, d’une certaine manière, lui fit un choc, remarquant que, chez eux, en Amérique, ils étaient parfois trop pourris gâtés. C’est à ce moment là qu’il développa une certaine froideur, distance, envers ses congénères américains.

Revenus de ces deux années, il alla étudier en Californie. En effet, il avait entendu dire que se trouvait une excellente fac qui, non seulement en plus d’être renommée, se trouvait dans un des états les plus agréables à vivre des Etats-Unis. Soit dit en passant, cela était le cadet des soucis de Greg’. Ce qui l’importait, c’était d’apprendre, de comprendre et de savoir tout ce qui pouvait arriver à un patient atteint d’une quelconque maladie. Et oui, derrière son caractère plus qu’exaspérant, il voulait sauver tout homme et femme de n’importe quelle maladie pouvant être trouvée et guérie.

Rapidement, il devint premier de sa classe, profitant de son statut pour snober tous les autres jeunes qui n’étaient là que pour faire plaisir à papa et maman. Il n’avait pratiquement pas d’amis, exceptés Lionel MacCoy, un écossais venu exprès du Royaume-Uni pour apprendre la médecine et devenir chirurgien, tout comme Gregory.
Ensemble, ils passèrent chaque minute de temps libre qu’ils pouvaient avoir, parlant de cas médicaux, de filles, d’argent, de rêves,… Bref, vraiment de tout, c’était un peu comme les deux meilleurs amis du monde.

A la fin de ses études, Gregory, en compagnie de son ami Lionel, entra alors dans l’hôpital de New York là où travaillait son père. Sans doute le piston familial ayant joué, House du quand même réalisé ses stages comme tout le monde. Et oui, études terminés mais pas encore réellement chirurgien… Comme quoi, ce n’est vraiment pas facile d’entrer dans le domaine de la médecine. Cependant, lui et Lionel s’étaient tous les deux accrochés, n’abandonnant pour rien au monde et, après de mains sacrifices, finirent par devenir de véritables chirurgiens.

De 30 à 37 ans, House guérit énormément de patient, recourrant parfois à des méthodes, que l’on pourrait qualifié de, non conventionnelle mais, le plus important, c’est que ses patients s’en sortaient toujours, quel qu’il soit. Et oui, derrière sa manipulation du bistouri, sa passion pour la médecine l’avait fait parcourir de nombreux ouvrages théoriques qu’il avait dévoré des années entières, le rendant ainsi capable de déceler une quelconque maladie que se soit, bien qu’il partait parfois sur de fausses pistes avant de trouver le réel problème.

Malheureusement, à ses 37ans, Gregory House fut atteint d’un cancer à la jambe. Ce dernier semblait héréditaire et, malheureusement, avait été découvert trop tard. Il ne restait que deux possibilités, amputés ou bien vivre le reste de sa vie avec une jambe à moitié hors service. Sans doute par égocentrisme, il refusa de perdre sa jambe, déterminé à en assumer les conséquences et les médecins, bien que pessimiste sur le cas du docteur, réussirent à inoculer le virus. Toutefois, tout le reste de sa vie, House devrait alors marcher à l’aide d’une canne et prendre quelques cachets et, ce, quotidiennement.

Paralysés partiellement selon le conseil médical, House fut déclaré comme inapte à continuer son travail de chirurgien. Toutefois, grâce à la passion et la hargne de ce dernier, il réussit à être reléguer au rang de diagnosticien. Une sorte de médecin consultant pour les cas traditionnels, ne demandant aucune opération spécifique et chercheur de solution sur les cas étranges et peu fréquents.

Post intéressant pour ce chirurgien reconverti, cependant, il ne réussit jamais à rester plus de 6 mois dans le même hôpital, son irascibilité venant à bout des caractères les plus patients. Mais, il fut quand même gratifier d’un nouveau poste au Seattle Grace Hospital sans savoir si, ce coup ci, il resterait ou non dans ce nouveau lieu qui allait être son nouveau chez lui. Quoiqu’il en soit, tout le personnel, du plus petit interne au plus grand chirurgien, devra bien se tenir pour accueillir l’ouragan House.

DESCRIPTION PHYSIQUE:
Les cheveux bruns coiffés en pétard, un regard bleu glacial accompagné d’un visage carré, voilà, vous avez l’image, parfaitement fidèle au caractère, de Gregory House.
Son retrait envers les autres se marquant aisément sur sa figure. Néanmoins, il parait tel un fou s’étant trompé hôpital, déambulant avec sa canne, vêtu d’un jeans bleu et d’un t-shirt souvent à l’effigie d’une sorte d’image trash de groupe rock et, cela, accompagné d’un veston noir.
Depuis son cancer, il boite de la jambe droite, ce qui lui donne un air, quelque peu, handicapant qui semble le blesser profondément bien qu’il essaye de le cacher. En effet, son visage ne laisse transparaître aucune émotion si ce n’est que de l’antipathie.

CARACTERE:
Honnête, House aime avant la vérité et la lutte contre la maladie, à croire qu’il ne vit que pour ça. Toutefois, sa vie sociale en prend un coup. En effet, il ne se sent pas proche des êtres humains, ce qui est assez paradoxal chez un médecin. Il préfère être seul que de partager de grands moments avec ses collègues où il ferait la bringue toute la nuit. Il est désagréable mais de manière direct. En effet, il prend plutôt un malin plaisir à jouer avec des sous-entendus ou des moqueries afin de rendre fou ses collègues. Il est alors aisé de comprendre qu’il ne sourit pas souvent, préférant avoir une mine de déterrer sur qui s’abat tous les malheurs du monde.

GOUTS :
En dehors de sa vie à hôpital, House ne semble pas aimé grand-chose, si ce n’est que de rester chez lui, seul, à écouter de la musique classique ou bien à jouer du piano. Toutefois, il est très amateur de sucette et vous le verrez souvent avec une en bouche, déambulé dans les couloirs de hôpital
Malgré son accident, il reste un passionné de moto mais n’ose toujours pas remonter sur l’un de ces engins. Et puis, boire ou conduire il faut choisir et House ne rechigne jamais sur une petite goutte d’alcool.

AVATAR PRIS:
Hugues Laurie

PRESENCE SUR LE FORUM : Assez régulière, voire quotidienne

MULTICOMPTE : ---